« On peut diviser la célébrité en deux aspects. D'un côté, la dimension intrusive qui viole la part intime de votre vie - c'est ce qui se produit avec le New York Post et les torchons de la presse à sensation. Ce sont les gens à l'entrée d'un cinéma qui attirent l'attention sur votre présence alors que vous n'y tenez pas. Ceux qui vous suivent jusque dans les bibliothèques et dans le hall de votre immeuble, des types avec des flashs, des gens mal élevés. Ce sont ceux qui s'arrêtent aux apparences et aux yeux bleus. Voilà le côté de la célébrité que je trouve déplaisant et envahissant..

Mais elle possède une autre facette, d'une extrême importance : elle engendre un certain pouvoir qu'on peut appliquer aux affaires, et donne les moyens d'accomplir les projets qui comptent vraiment. J'aimerais me débarrasser du premier aspect de ma célébrité, mais on ne peut pas perdre l'un sans perdre l'autre. »