ISBN : 9782764808863
GERMAIN, Georges-Hébert: Jadis, si je me souviens...
Prix régulier
$13.50
« Quand je suis en ville, j’essaie d’aller au gym deux ou trois fois par semaine, histoire de me tenir en forme. Pendant quelques années, j’ai fréquenté un petit studio qui se trouvait au dernier étage du
building où logeait le cinéma Monkland, à l’époque pas si lointaine où il y avait des cinémas dans toutes les petites villes du Québec et dans tous les quartiers de Montréal. Ça me mettait chaque fois de bonne humeur pendant vingt-quatre heures au moins, m’aidait à bien dormir et me faisait momentanément oublier que j’allais mourir avant longtemps. »
À travers ce récit se raconte l’histoire d’un homme, l’auteur, le narrateur, le deuxième de sa famille, qui, s’apprêtant à franchir le seuil de la prime vieillesse, se voit rappeler son passé qu’il compare
spontanément à son présent. Il est amené à revisiter sa tendre enfance pour constater, à la fois amusé et inquiet, à quel point le monde, les choses et lui-même ont changé. Parfois pour le meilleur,
parfois pour le pire.
Ce livre est également un témoignage sur la famille et sur la fraternité, éléments fondateurs de nos sociétés, aujourd’hui en voie de disparition. Un livre sur l’enfance aussi, rédigé à partir des souvenirs communs qu’évoquent ensemble les membres d’une famille de quatorze enfants, souvenirs fatalement déformés par le temps et sans cesse confrontés aux réalités actuelles.
Ces récits croisés d’événements perçus très différemment par les plus âgés et les plus jeunes forment une fresque s’étendant sur plus de soixante ans, dans laquelle on peut suivre, parfois de loin,
parfois au premier plan, les grandes transformations de la société dans laquelle nous avons vécu. Transformations des moeurs, des peurs, des croyances et des sentiments, de la foi, des attitudes et des habitudes, de la notion de fraternité, de l’étranger, de la famille, de l’amour…
building où logeait le cinéma Monkland, à l’époque pas si lointaine où il y avait des cinémas dans toutes les petites villes du Québec et dans tous les quartiers de Montréal. Ça me mettait chaque fois de bonne humeur pendant vingt-quatre heures au moins, m’aidait à bien dormir et me faisait momentanément oublier que j’allais mourir avant longtemps. »
À travers ce récit se raconte l’histoire d’un homme, l’auteur, le narrateur, le deuxième de sa famille, qui, s’apprêtant à franchir le seuil de la prime vieillesse, se voit rappeler son passé qu’il compare
spontanément à son présent. Il est amené à revisiter sa tendre enfance pour constater, à la fois amusé et inquiet, à quel point le monde, les choses et lui-même ont changé. Parfois pour le meilleur,
parfois pour le pire.
Ce livre est également un témoignage sur la famille et sur la fraternité, éléments fondateurs de nos sociétés, aujourd’hui en voie de disparition. Un livre sur l’enfance aussi, rédigé à partir des souvenirs communs qu’évoquent ensemble les membres d’une famille de quatorze enfants, souvenirs fatalement déformés par le temps et sans cesse confrontés aux réalités actuelles.
Ces récits croisés d’événements perçus très différemment par les plus âgés et les plus jeunes forment une fresque s’étendant sur plus de soixante ans, dans laquelle on peut suivre, parfois de loin,
parfois au premier plan, les grandes transformations de la société dans laquelle nous avons vécu. Transformations des moeurs, des peurs, des croyances et des sentiments, de la foi, des attitudes et des habitudes, de la notion de fraternité, de l’étranger, de la famille, de l’amour…